Issue de l’histoire des luttes féministes menées sur les continents européen et américain, la journée du 8 mars célèbre les luttes pour les droits des femmes et pour l’égalité entre hommes et femmes.

Aujourd’hui encore, les inégalités persistent dans de nombreux champs du quotidien.

Actuellement, les personnes les plus précaires en France sont des femmes. Elles représentent 70 % des travailleurs pauvres (1), 43 % des salariés sont des femmes et elles représentent 62 % des personnes payées au SMIC (2). De plus, la pénibilité des emplois majoritairement occupés par les femmes est largement invisible. Autrement dit, les femmes subissent davantage la précarité !

On constate un manque de places d’hébergement d’urgence, notamment pour les femmes victimes de violences conjugales, une lenteur dans la mise en œuvre de formations à l’accueil des plaintes pour viol dans les services de gendarmeries et de police, un manque de soutiens publics aux associations qui accompagnent les femmes dans leur parcours socioprofessionnel et de réinsertion… En bref, les pouvoirs publics ne répondent pas aux urgences et aux besoins actuels !

D’autre part, La CSF est impliquée dans le droit aux soins pour tous et elle souhaite alerter sur plusieurs réalités : les femmes sont plus nombreuses que les hommes à renoncer aux soins à cause du manque de temps. Cela peut s’expliquer par l’inégalité de répartition en travail domestique au sein du foyer, l’isolement plus important des femmes de plus de 75 ans, et 80 % des familles monoparentales féminines… (3).

Elles ont également des besoins spécifiques en matière de santé. Certaines pathologies touchent uniquement ou majoritairement les femmes, pourtant, les recherches médicales et l’information sanitaire ne sont pas renforcées. Parfois même, les traitements ne sont pas adaptés aux femmes.

Au regard de ces inégalités persistantes, le chemin vers l’égalité semble encore long. La Confédération Syndicale des Familles continuera à œuvrer pour une société juste et égalitaire, et pour l’émancipation de tou(te)s.
Pour conclure, une citation de Simone Weil, « ma revendication en tant que femme c’est que ma différence soit prise en compte, que je ne sois pas contrainte de m’adapter au modèle masculin ».

Les pouvoirs publics doivent réagir, les pouvoirs publics doivent s’adapter aux femmes !

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Charlotte BARRE . cbarre@la-csf.org

Image illustration : Site ONU FEMMES : https://www.unwomen.org/


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(1) Rapport de l’Observatoire national de la pauvreté et de l’exclusion : page 16, 2008.
(2) Enquête de la Dares, « Les emplois du privé rémunérés sur la base du smic » : page 3, 2016.
(3) Rapport de santé publique France 2017 – la santé en action.

Mobilisée depuis l’annonce du gouvernement sur la nouvelle réforme des retraites, La CSF réitère en appelant à la mobilisation le 7 Mars 2023.

Rien ne justifie une telle réforme ! A plus forte raison car elle va creuser dangereusement les inégalités. Les études d’impacts réalisées, notamment sur les conséquences pour les femmes et les travailleurs précaires, renforcent notre colère et notre détermination à faire reculer le gouvernement.

Les conséquences de la réforme pour les femmes sont inadmissibles

Déjà moins bien payées que les hommes, cette réforme gonflerait l’addition. Les femmes connaissent plus de carrières « hachées » et subissent plus de temps partiels que les hommes. Même pour pouvoir atteindre les 8 trimestres de cotisations de congé parental, proposées par la réforme des retraites 2023, il faudrait avoir commencé à travailler avant 20 ans et avoir cotisé entre 43 et 44 années. La CSF condamne cette nouvelle injustice qui tend à précariser davantage les femmes.

Les professions dites « pénibles» impactées.

L’objectif du gouvernement est de faciliter le départ en retraite des personnes « usées par le travail » dès « 62 ans ». Pour La CSF, l’âge est déjà beaucoup trop tard. Les comparatifs de reste à vivre en bonne santé à la retraite, très largement en défaveur de ces travailleurs, accentuent notre conviction sur le caractère injuste de la réforme.

La CSF soutient la mobilisation du 7 Mars 2023 et appelle le gouvernement à se repositionner en respectant l’intérêt général et en écoutant la voix des familles !


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Benoit Menard . Secrétaire Général | bmenard@la-csf.org | 06.73.20.30.73

Johan Jousseaume . Secrétaire Confédéral | jjousseaume@la-csf.org | 07.83.99.38.26

Charlotte Barre . Chargée de mission santé | cbarre@la-csf.org |07.49.77.79.48

La Confédération Syndicale des Familles, dans le cadre des actions menées par le secteur ‘Consommation’, continue son combat pour défendre le budget des familles sur les questions de la hausse des tarifs de l’énergie.

Dans ce cadre, un courrier signé par La CSF avec plusieurs associations de consommateurs est adressé ce jour à tous les députés et sénateurs, demandant la prolongation des tarifs réglementés de vente du gaz au-delà du 30 Juin prochain.

C’est en effet à cette date que les tarifs réglementés doivent s’arrêter pour le moment.

La CSF est consciente que la partie est loin d’être gagnée sur cette demande et se bat également pour que le bouclier tarifaire, dans son ensemble, ne soit pas abandonné à l’avenir, ce qui entrainerait des conséquences très lourdes pour les familles et les consommateurs.


Courrier demandant la prolongation des tarifs réglementés du gaz / Format PDF


Contact /

Elsa COHEN . ecohen@la-csf.org

Antoine TIROT . atirot@la-csf.org

Alors que le gouvernement français s’apprêtait à prolonger la dérogation accordée aux betteraviers pour utiliser les néonicotinoïdes, la pratique vient d’être jugée illégale par la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE).

Pour rappel, les néonicotinoïdes sont des pesticides nocifs pour l’environnement et pour l’homme qui ont été interdits d’usage depuis 2018 en Europe. Pourtant, pour la troisième année consécutive, le ministère de l’agriculture avait décidé de mettre en place une dérogation pour continuer à utiliser ces pesticides.

Or ce jeudi 19 janvier, la CJUE a décidé de mettre fin à ces pratiques qu’elles considèrent illégales. Selon elle, « les États membres ne peuvent pas déroger aux interdictions expresses de mise sur le marché et d’utilisation de semences traitées à l’aide de produits phytopharmaceutiques contenant des néonicotinoïdes ».

La dérogation prise à l’initiative du gouvernement est donc interdite du point de vue juridique ! La CSF se satisfait de cette décision de justice qui recadre une dérive complètement à contre-courant des enjeux sociétaux actuels.

Elle appelle donc le gouvernement à se tourner vers les solutions alternatives préconisées par l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (ANSES) et à retirer immédiatement sa nouvelle proposition de dérogation pour des semences de betteraves enrobées de néonicotinoïdes pour 2023 !

La CSF rappelle que la protection de l’Environnement et de la Santé des familles et des consommateurs ne doivent pas être sacrifiés au profit des intérêts économiques de quelques-uns ; les consommateurs d’aujourd’hui ne l’acceptent plus !


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| Contacts Presse |

Elsa COHEN . Secrétaire Confédérale Secteur Consommation
ecohen@la-csf.org
06.52.25.17.84

Antoine TIROT . Chargé de mission Secteur Consommation
atirot@la-csf.org
07.49.35.31.65.

Mardi 10 janvier, Elisabeth Borne, Première Ministre, a présenté les contours de la nouvelle réforme des retraites. Comme nous le craignions, elle porte l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans d’ici 2030, contre 62 actuellement.

Autre mauvaise nouvelle ; la retraite à taux plein sera progressivement portée à 43 ans !

La Confédération Syndicale des Familles condamne ces choix politiques.

Comme disait Ambroise Croizat, ancien ministre du travail : « La retraite ne doit plus être l’antichambre de la mort, mais une nouvelle étape de la vie ». L’addition de cette réforme est lourde et ce sera encore une fois les plus précaires qui en paieront le tribut, notamment ceux exerçant des métiers catégorisés comme pénibles.

La CSF défend avec conviction et fermeté :
• Une meilleure prise en compte des métiers catégorisés en permettant un départ à la retraite anticipé car l’espérance de vie est souvent moins importante.
• Une meilleure prise en compte des parcours familiaux notamment pour les monoparentaux en assouplissant le calcul des trimestres.
• Un minimum retraite nettement rehaussé et à minima indexé sur l’inflation.
• La considération des personnes à la retraite non plus comme un coût mais comme « une ressource sociale et solidaire » pour le pays.
• Une amélioration considérable des dispositifs et moyens pour le retour en emploi des + 55 ans.
• La mise en place de parcours professionnels cohérents en lien avec l’âge et l’acquisition d’expériences.

Nos acquis sociaux sont plus que jamais en danger !

C’est pourquoi, pour la préservation de nos acquis sociaux, La CSF soutient la journée de mobilisation du 19 janvier organisée par l’union des syndicats contre la réforme des retraites !


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. CONTACTS .

Johan JOUSSEAUME . Secrétaire Confédéral Secteur Familles
_ jjousseaume@la-csf.org
_ 07.83.99.38.26

Charlotte BARRE . Chargé de mission Secteur Familles
_ cbarre@la-csf.org
_ 06.84.15.54.89

Depuis le 1er janvier 2023, les tarifs, ainsi que les offres d’envoi de La Poste sont modifiés. Principale mesure : la disparition du timbre rouge, bien connu des consommateurs, au profit de la « e-lettre rouge » dématérialisée.

La CSF s’interroge sur cette nouvelle formule de lettre prioritaire qui risque d’exclure les populations qui n’ont pas un accès facile à internet ou à un bureau de poste.

Elle rappelle que La Poste a une mission de service public en matière postale qui est de plus en plus mise à mal par la course à la dématérialisation.

La mission de La Poste qui est de « garantir à tous les usagers un service accessible et égal sur l’ensemble du territoire français », ne doit, en aucun cas, être sacrifiée aux objectifs de rentabilité de l’entreprise.

La question de la confidentialité pose également problème ! En effet, lors de l’envoi d’un courrier prioritaire (« e-lettre rouge »), le bureau de poste le plus proche de votre destinataire aura accès au contenu de votre courrier, ce qui peut constituer une atteinte à la vie privée et au secret de la correspondance.

La CSF rappelle son attachement au Service Public et à la vie privée des consommateurs. Elle restera vigilante sur les impacts, pour les familles, des nouvelles dispositions de La Poste !


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. CONTACTS .

Elsa COHEN . Secrétaire Confédérale Secteur Consommation
_ ecohen@la-csf.org
_ 06.52.25.17.84

Antoine TIROT . Chargé de mission Secteur Consommation
_ atirot@la-csf.org
_ 07.49.35.31.65

Dans quelques jours, le projet de loi sur le pouvoir d’achat va être présenté en Conseil des Ministres, puis à l’Assemblée Nationale où les débats auront lieu avec les députés récemment élus.

Si le détail de ce projet de loi n’est pas encore officiellement connu, La CSF s’inquiète déjà de certaines annonces qui sont lancées et qui sonnent comme autant de mesures court-termistes qui ne permettent pas de créer un modèle en accord avec les urgences sociales et écologiques de long terme.

Un chèque alimentaire aux contours encore mal définis (mais sans repenser le modèle de l’industrie agro-alimentaire), des mesures de blocage des prix temporaires pour l’énergie ou l’essence (mais sans réflexion sur l’épuisement des ressources ni investissement ambitieux pour la recherche et le développement de ressources alternatives) ou une petite revalorisation des prestations sociales ne peuvent pas suffire à régler les problèmes des familles soumises aux conséquences de l’inflation galopante et aux difficultés régulières dues à l’augmentation régulière du poids des charges contraintes !

La CSF soutient que, sur cette question de pouvoir d’achat, l’heure n’est pas aux mesures d’appoint temporaires mais bien à une réflexion en profondeur et une remise à plat de notre modèle économique pour l’adapter aux besoins et exigences sociales mais aussi aux enjeux environnementaux de long et moyen terme : il est plus que temps !

La CSF revendique le fixation d’un taux de TVA à 5,5 % pour des produits nécessaires à un confort de vie minimal (aliments de première nécessité, fournitures scolaires, produits d’hygiène, notamment menstruels) ainsi qu’une revalorisation des salaires et des petites retraites qui sont autant de pistes pour améliorer durablement la situation des familles !

Elle attend donc avec une forte vigilance les propositions du projet et saura interpeller les nouveaux députés pour faire entendre, par sa voix, celle des familles populaires !


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| CONTACT PRESSE | Elsa COHEN
ecohen@la-csf.org
06.62.25.17.84

La CSF dénonce la méthode du gouvernement annonçant durant le week end sans aucune concertation, une hausse de l’indice de référence des loyers (IRL) de 3,5 % pour un an.

Lundi 27 juin, La CSF a émis un avis défavorable contre cette hausse au Conseil National de l’Habitat.
Cette augmentation des loyers est la plus forte depuis 15 ans. La revalorisation des APL à 3.5 % à partir du 1er juillet ne suffira pas à protéger toutes les familles du risque d’impayé de loyers, puisqu’elles ne sont pas toutes éligibles à cette allocation.

La CSF rappelle que le logement procure à l’Etat plus de 40 milliards de recettes par an. En comparaison, la dépense supplémentaire de 168 millions d’euros dus à la revalorisation de 3,5 % des APL paraît extrêmement faible. De plus, la réforme de la contemporanéisation des APL avait déjà engendré 1,1 milliard d’euros d’économie à l’Etat en 2021, au détriment de la jeunesse et des personnes âgées à faible revenus.

Cette politique présentée comme une position d’équilibre ne défend que l’intérêt des bailleurs publics et privés au détriment du pouvoir d’achat de nos concitoyens.

Rappelons que la moitié du parc locatif privé est détenue par des bailleurs propriétaires de plus de 5 logements, ainsi cette augmentation des loyers satisfait le modèle économique d’accumulation du patrimoine immobilier.

La CSF revendique :
– le gel des loyers
– l’augmentation des APL et du forfait charges
– la baisse du seuil d’éligibilité de l’APL
– l’augmentation des Aides à la pierre afin de produire des logements sociaux avec des loyers moins chers

 


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Contact | Romain BIESSY – Secrétaire confédéral

rbiessy@la-csf.org | 01.44.89.86.87 | 06.95.13.05.29

La CSF vient de faire paraître le magazine ‘NOUS’ – N°237 . Deuxième trimestre 2022 – dont l’édito et le sommaire sont disponibles sur notre site :


Comment être des acteurs engagés face aux événements qui semblent nous dépasser ?

Ces dernières années nous avons connu des événements qui nous auraient semblé impossible il y a deux ans :
• Une pandémie planétaire qui nous a imposé trois confinements et a profondément bouleversé nos modes de vies
• Une guerre sur notre continent qui nous implique, au moins indirectement, et nous menace du pire.

Face à ces crises, nous devons faire des choix pour déterminer les politiques adaptées aux besoins de notre société.

Les élections présidentielles et bientôt les législatives nous ont et vont nous donner l’occasion de nous positionner au sujet des orientations collectives de notre société. La CSF rappelle qu’il est du devoir de chacun de participer à ces débats collectifs notamment par le vote. Le désengagement du débat public d’un certain nombre de nos concitoyens, illustré mis exergue par des taux d’abstention qui ne cessent de croître est inquiétant. Il laisse le champ libre au discours les plus extrémistes qui se banalisent et monopolisent toujours plus le temps de parole et les résultats électoraux. Plus que jamais nous devons donc nous exprimer par le vote et inciter chacun à le faire.

Cette désaffection du débat démocratique traditionnel pourrait nous laisser penser que les valeurs d’engagement et de citoyenneté que La CSF porte ne sont plus partagées.

Les témoignages de Yannick Blanc et de Christophe Robert, nous indiquent le contraire. Il existe une grande demande de participation au sein de la population française. Face aux défis que posent l’avenir de la planète et les tensions internationales nous ne nous estimons pas battus et ne voulons pas rester passifs. Les exemples des Fablab, de l’association All behind et des projets réalisés dans le cadre du programme Habitants en action démontrent que nombreux sont ceux qui s’impliquent dans des solutions au problèmes posés.

Cette apparente contradiction entre baisse de l’expression publique et développement de l’engagement locale souligne sans doute la complexité des enjeux auxquels nous devons faire face. Il est sans doute plus facile de déterminer ce qui est juste et approprié dans notre environnement proche que nous pensons maîtriser et comprendre alors que les solutions générales proposées semblent si incertaines. Nous savons bien cependant que tout est lié et que nos choix individuels en matière de consommation, d’ouverture d’esprit, de loisirs, contribuent à l’orientation collective.

Pour une association d’éducation populaire comme La CSF, il y a, là, un défi : inscrire, humblement mais consciemment et consciencieusement, les petits ruisseaux de nos réalisations locales dans la grande rivière de la construction de la paix et de la solidarité.

Benoît Menard

Secrétaire Général de La CSF

Une nouvelle émission de CONSOMAG avec La CSF est disponible sur le site de l’INC.

Expliqué dans l’émission par Elsa COHEN, Secrétaire Confédérale ‘Consommation’ à La CSF et présenté dans le texte de l’INC ci-après : solidaire et pratique !


…  » Bonjour, j’ai entendu parler des salons de beauté et de coiffure solidaires. Qu’est-ce que c’est ? Merci !

Il s’agit de salons qui proposent aux petits budgets de s’offrir un soin ou une coupe de cheveux à prix réduit. Cette démarche a pour but de favoriser l’inclusion sociale.

En France, la majorité des personnes en situation de précarité financière sont des femmes. D’après l’INSEE, le salaire des femmes reste aujourd’hui de 16,8 % inférieur à celui des hommes. De plus, elles occupent plus de 80 % des emplois à temps partiel et se retrouvent plus défavorisées que les hommes en cas de séparation.

En effet, les femmes concentrent souvent leurs dépenses sur les postes prioritaires pour la famille comme le logement, l’alimentation, les transports et l’énergie, se refusant ainsi de consacrer une part de leur budget à la beauté et au bien-être. L’objectif des salons solidaires est donc de permettre à ces femmes exclues, de bénéficier des services offerts par un salon de beauté ou de coiffure traditionnel à un tarif réduit.

Sachez que selon l’OMS, la santé est définie, non seulement comme le fait de ne pas être malade, mais également comme le fait de se trouver dans un état de bien-être. Ces services solidaires jouent donc un rôle important pour les bénéficiaires. Ils permettent aussi de trouver plus facilement un emploi, un stage ou un appartement.

Ces salons sont ouverts à tous et peuvent pratiquer différents niveaux de tarifs en fonction de vos ressources. Comptez moins de 10 euros pour une coupe de cheveux, par exemple. Ils sont tenus par des professionnels compétents et soutenus financièrement par des associations, des partenaires privés, des missions locales ou encore des Centres Communaux d’Action Sociale » …